quinta-feira, 25 de fevereiro de 2021

Pascal Blanchard et le soi-disant islamo gauchisme

 


 

(2) Islamo-gauchisme : la polémique - C l’hebdo - 20/02/2021 - YouTube

 

Je ne le connaissais pas. Un soi-disant historien parle d’un soi-disant islamo-gauchisme. Les formules ne m’ont jamais fasciné. Les exemplaires significatifs oui. Monsieur Blanchard énonce une théorie de distinctions qui montrent que la réalité est toujours plus complexe, et il est en train de la dévoiler. Si ; on peut dévoiler la réalité, parce qu'on nous a appris que la réalité est opaque (Heidegger dixit), mais on paye à des éminents professeurs pour qu’ils nous disent toujours la même chose : que leur fonction c’est de la dévoiler, mais… qu’elle est opaque.

 

Il fait des études post-coloniales. Je ne sais ce que sont les études post-coloniales. Ça vaut dire qu’elles sont faites après la fin des empires coloniaux ? Ce serait ainsi, ça voudrait dire qu’une thèse sur l’analyse infinitésimale publiée aujourd’hui est une étude postcoloniale. Est-ce qu'il y en a malgré tout a un contenu précis dans cette expression «post» ? Si c’est ainsi, le mot «post» ne dit rien sur le contenu. C’est un mot vide. Ceux qui l’utilisent ne sont pas capables d’énoncer synthétiquement le contenu de ce qu’ils proposent comme point de vue sur le monde. Un «socialiste», un «libéral», un «romantique» peut dire beaucoup de choses, même très contradictoires, les mots peuvent être mal utilisés, la plupart du temps d’ailleurs. Mais au moins il y en a un essai de dire quelque chose avec les mots qu’on utilise.

 

On le sait déjà : les post-modernes, poststructuralistes, les postchrétiens et tant d’autres «post» nous l’ont déjà montré. Ils n’ont pas d’idées sauf une : qu’ils viennent après d’autres. Ces autres qu’on doit caricaturer pour montrer qu’on est plus sophistiqué, plus critique et moins naïf que nos ancêtres. Voilà tout - le vide.

 

Mais cette expression «post» est-elle si vide ? Ou est-ce qu’à la limite, parce qu’on ne peut pas vivre des décennies en disant des phrases absolument vides, elle dit quelque chose ? Quelque chose qu’elle ne veut pas dire, mais qu’elle veut cacher. Ce mot «post» vaut dire qu’on veut cacher. Au moins nous avons découvert quelque chose que ce mot vaut dire.

 

Mais que veut cacher ce professeur ? Que veut-il professer ? Une vision critique qui n’existait pas par le passé ? Critique de quoi ? Du colonialisme ? Mais la critique du colonialisme, on la voit chez Joseph de Maître, Chateaubriand, Pareto, chez les mouvements protestants britanniques ou norvégiens, auxquelles s’oppose la très laïque Compagnie des Indes Orientales britannique, le prince Leone Caetani, Gomperz (qui critique aussi l’inégalité des femmes), même Alexandre Pope ou les jésuites …

 

 

Dit-il que le très illuministe Volney défendait le colonialisme? Ou la très anticolonialiste Birmanie défend les idées impériales japonaises ? Que des anticolonistes arabes disent que Shakespeare était arabe et son vrai nom as-Sayj Zubayr? Que le parti communiste français n’était pas anticolonialiste parce que les ouvriers de Renault apprenaient à l’école que l’Algérie était française (voir les mémoires de Paul Germain)? Qu’Étiemble fait des Lumières l’ancêtre du colonialisme?

 

Que la France soit criminelle, c’est là la découverte ? Mais si la France nous le dit dès plus de soixante-dix années. Si Sartre avait déjà dit que le colon est un chien et doit être tué comme un chien (le pauvre, il voulait imiter Nietzche dans l’insulte, mais l’art de Nietzche n’est pas donné à tous)? Que le catholicisme était persécuteur ? On vous écoute dire ça il y a plus de deux cents ans. Et les nazis l’ont dit avec vous. Vous ne choquez pas le monde. Vous l’ennuyiez. De tant nous parler de vos nouveautés, on croit à votre consistance : vos nouveautés sont toujours les mêmes. Vous ne savez plus produire du nouveau ?

 

Voilà, quelles sont les merveilleuses découvertes de ce mouvement post-coloniale? Et les «études du genre»? Voilà ce qu’il dit: «Les hommes ont raconté l’Histoire pendant vingt siècles» (15m50s du vidéo). Voilà ce qu’il fallait cacher. Avant ces vingt siècles les hommes n’avaient pas ce monopole. Avant ces vingt siècles hommes et femmes pouvant raconter l’Histoire comme des égaux.

 

Qu’est-ce que s’est passée entre-temps ? Quelle sénatus-consulte du temps de Tibère, quelle loi des Parthes, quel décret d’un rajah quelque part en Inde a tout changé sur le sort des femmes ? Qu’est-ce que s’est passé il y a deux mil ans ?

 

Hypothèse hardie, peut-être, mais je vais l’énoncer. Le christianisme. Ce qu’il voulait voiler l’est venu quand il a voulu simplifier. Voilà l’ennemi. C’était plus fort que lui. Quand monsieur veut augmenter la complexité il ne fait que voiler, de nous envelopper de feux d’artifice conceptuels. Quand il devient simpliste, il devient sincère.

 

Qu’est-ce qu’a changé le statut de la femme dans le christianisme ? La question de la «homoousia» ? La double nature du Christ ? Mais non, que les femmes dans de gynécée à Athènes ou en Perse, ou les femmes dans les harem à Bagdad sachent qu’elles sont bien plus libres que les chrétiennes. Huit reines de droit propre en Angleterre, trois en Espagne, deux au Portugal, des dizaines de souveraines de droit propre en Europe chrétienne, quel retard par rapport au statut de la femme chez les Azéris.

 

Le problème c’est que c’est facile, c’est trivial, c’est déjà vu. Le problème c’est que la discussion intellectuelle en France a vu diminuer sa qualité rhétorique, philosophique et sapientielle dès la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.

 

Beaucoup d’ exemples pourraient démontrer ceci. Chaque fois qu’on écoute l’expression préférée de Hitler et Himmler de «judéo-chrétien», l’oppression par le christianisme, la plus grande «tolérance» des autres religions (le nazisme a laissé sa marque en France, on le voit)… Ou chaque fois qu’on écoute cet argument «la Bible est violente», sans faire une distinction, connue du reste du monde, entre Ancien Testament et Nouveau, que les Pères de l’Eglise maniaient déjà très profondément du point de vue théologique (fonction prophétique de l ‘Ancien, bourré de mauvais exemples moraux, par exemple) … On pense qu’une belle culture est en décadence et ne s’en rend pas compte.

 

Que les soi-disant intellectuelles défendent tout ce qui reste de plus avilissant pour l’être humain, toute sorte de régimes totalitaires, c’est quelque chose qui ne choque pas les Français, apparemment. Ce qu’on doit faire c’est tout simplement de substituer l’object de notre idolâtrie. Staline passe le témoin a Mao, à Kadhafi, au monde ouvert à tous, et aux victimes des empires coloniaux, musulmans de préférence, même s’ils sont Turcs et n’ont pas été victimes d’empires mais auteurs.

 

Voilà l’ennemi commun, tout se comprend. Les vingt-siècles où un obscur édit de Tibère a tout changé. La femme, qui a été libre pendant des millénaires, a été subjuguée par cet obscur édit. Tout est bon si on a de bons sentiments. Il y en aurait tant de choses à dire… Mais de la part de quelqu’un qui aime la culture française, celle de Pascal, de Cauchy, de Poincaré, de Racine et Molière ou Pasteur, c’est triste de voir jusqu’à quel point elle se laisse devenir la risée du monde. Et, avec l’histoire intellectuelle des dernières décennies, à pire encore : à ne plus compter, tout simplement parce qu’on veut avoir de bons sentiments, de meilleur «sens critique»… Mais on ne fait que voiler et se voiler. C’est un requiem que je ne voudrais pas faire. Ce serait trop triste pour moi. Il faudrait que la France m’en enlève la raison de ceci.

 

Voulez-vous, monsieur, que nous, qui ne sommes pas des Français, étudions une culture d'un pays que vous dîtes être raciste, criminel, coupable? Ça vaut dire que vous nous conseillez de ne pas en étudier la culture. Soit. Beaucoup de gens vous croiront. Et vous laisseront à vous seuls les Français la tache de vous démêler d'une culture que vous qualifiez d'aussi déméritante. Vous voulez une France fermée sur elle-même, engourdie dans sa saleté. On vous donnera raison, comme une raison pour vous oublier. Sachez, monsieur, que cette auto-suffisance c'est toujours le premier pas vers l'isolation. Vous voulez une France provinciale. Il y aura des étrangers heureux de vous donner raison. Permettez-moi, monsieur, que tel ne soit pas mon cas. Si je dois choisir de vous condamner à vous ou à votre pays souffrez que je ne sacrifie votre pays. Il est déjà sacré pour moi. Vous pouvez deviner votre sort. Pour votre consolation, il ne m'est pas imputable, parce que je ne suis pas le destin. Si le miroir vous dit que le monde est laid, ce n'est que le miroir soit menteur, c'est que ce n'est pas le monde ce que vous y voyez.

 

 

Alexandre Brandão da Veiga

 

 

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segunda-feira, 15 de fevereiro de 2021

Nazis, arianos e anti-semitas

 

 

O lugar comum é o de que os nazis eram anti-semitas e a ideia de arianismo é tipicamente nazi. Quanto a canalha se satisfaz com ideias simples é bom sinal, porque seria pouco útil à sua paz deixá-la na confusão. Como entre nós podemos usar de alguma intimidade, podemos dar-nos ao luxo de abrir algumas distinções.

A oposição entre arianismo e semitismo não é nazi. Vem da História e da indo-europeística do século XIX.

A ideia não é de direita, mas é partilhada pela direita e pela esquerda. Renan usa-a com naturalidade. E é prova disso também o actual anti-semitismo de esquerda, sempre com a desculpa do povo palestiniano e do sofrimento dos árabes (árabes que nunca se interessaram verdadeiramente pelo destino dos palestinianos na sua maioria).

A ideia não é estranha aos judeus. Os judeus até aos anos de 1930 usavam esta oposição com naturalidade, como se vê pela correspondência de Freud.

Os estudos indo-europeus não são apanágio dos arianos. Um judeu como Benveniste foi um dos seus maiores cultores.

Indo por negação já começamos a limpar o nosso caminho da sujeira da turba. Podemos entrar então na ideologia nazi. E também aqui temos de ver negações.

O pensamento nazi não era em sentido técnico anti-semita. O pensamento nazi não era plenamente favorável ao arianismo nem aos indo-europeus.

Vejamos a primeira negação. Os nazis gostavam muito da maioria dos povos semitas ou semitizados: os árabes.

Como é típico do Maio de 68, herdeiro no nazismo, o nazismo gostava muito de uma religião semita por excelência, o islão. Nas S.S. não eram admitidos capelães, mas houve duas brigadas S.S. muçulmanas e nelas eram admitidos capelões islâmicos. O grande Mufti de Jerusalém foi recebido por Hitler e apoiou o genocídio dos judeus. O mufti de Jerusalém Hadj Amin al-Husayni em 1941 entrega declaração aos alemães e italianos em que propõe que estes proclamem que é reconhecido aos árabes tratarem a questão judaica nos mesmos termos que os nazis e os fascistas. E ministros de Nasser diziam que o maior político era Hitler ainda nos anos de 1950. O Dr. Noureddine Tarraf ministro da saúde de Nasser diz : «Hitler é o homem da minha vida».

O nazismo era anti-judeu. Profundamente anti-judeu. Mas talvez não totalmente anti-judeu. Não apenas houve judeus nazis como Bronnen (ou Bronner) ou o historiador Karo, como suscitava discussão se os judeus holandeses de origem portuguesa eram verdadeiros judeus, ou deviam ser devolvidos a Portugal. Discussão que não foi meramente teórica, porque fez com que alguns deles sobrevivessem à II Guerra Mundial. O nazismo não era inequivocamente anti-sefardita. Era inequivocamente anti-askhenazy.

O nazismo não era totalmente pró-ariano.

A sua relação com o Irão era equívoca, umas vezes por oposição aos semitas dados como exemplo, outras por influência das fontes gregas (afinal as mais antigas fontes literárias sobre a Pérsia antiga são nossas, são gregas) vistos como o inimigo.

Povos misturados como os gregos, assumidos como mistura de helenos e povos autóctones, ou os romanos, que se viam a si mesmos como mistura de povos, eram idolatrados por Hitler, que desprezava as cabanas germânicas em comparação com os belos monumentos romanos.

Puros povos arianos, como os eslavos, eram considerados raças inferiores. E, quando raças germânicas puras como aos holandeses e nórdicos não aceitavam a colaboração com o nazismo, eram vistos como degenerados.

Por isso, recusar o conceito de ariano porque os nazis gostavam dele é multiplamente tonto: não eram os únicos a gostar dele, e não gostavam tanto dele quanto se diz. E só porque os nazis gostavam de respirar não é critério para eu querer deixar de o fazer.

A recusa do conceito de «ariano» apenas mostra que, ao contrário do que muitos imaginam, a Europa não se universaliza, apenas se provincializa, como tanto quiseram muitos europeus, e muitos antigos colonizados. A Pérsia quer-se chamar de Irão, porque se quer a terra dos arianos, e os hindus com muito orgulho chamam-se de descendentes dos Aryas (esqueço agora a polémica das discutidas invasões indo-europeias na Índia).

Para além de questões de justiça, há questões de fecundidade intelectual que me levam a dizer isto. O maior monumento ao espírito humano nas ciências humanas foi a construção indo-europeística. Foi esta que permitiu a formação da linguística geral, que por sua vez permitiu a linguística computacional que os nossos correctores automáticos usam no dia a dia, que ajudou a arqueologia, a genética das populações humanas, sobretudo uma construção intelectual de uma grande beleza formal. Algo que raramente se pode afirmar nas ciências humanas. Que nos queiram provincianos, limitados e sem possibilidade de investigar e expandir, percebo. Que haja europeus obedientes o bastante para nem pensarem noutra coisa senão aceitar estes ditames, diz muito sobre o seu servilismo zangado, mas também sobre a sua pobreza intelectual. Eu, que estou mais próximo dos nossos primos indianos, não me irei coibir de usar os conceitos certos, proibidos apenas para quem aprendeu História em séries de televisão.

 

Alexandre Brandão da Veiga

 

 

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segunda-feira, 8 de fevereiro de 2021

Contestando os bons sentimentos

 

Circulando pelo espaço público encontramos a mesma ladainha, a mesma música, o mesmo enfado repetitivo: «tenho tão bons sentimentos», «os meus sentimentos são melhores que os teus». As pessoas estão um concurso de amor em relação à humanidade, em que pretendem sentir mais amor pelo humano, pelo humano na sua abstracção, no seu conjunto, na sua totalidade, bem mais que amor pelos vizinhos.

Se se trata de amor, e que problema está por detrás deste amor industrializado, é questão para outras discussões. Neste momento apenas vou referir três aspectos que me levam a sentir repulsa pela expressão de bons sentimentos em público.

Existe, em primeiro lugar, uma dimensão social. Mostrar sentimentos em público é sempre sintoma de má educação. Mostrar bons sentimentos em público é, em acréscimo, sintoma de baixíssima origem social. Por isso, quando alguém demonstra em público bons sentimentos, não está forçosamente a falar dos seus sentimentos reais. Está apenas a demonstrar, para além de qualquer dúvida razoável, que não teve educação, tem mau gosto, e vem de muito baixa extracção social. O que, convenhamos, não era necessário dizer de outra forma, a sua imagem gráfica há o teria denunciado. Mas como vive num mundo de redundâncias mais esta não o assusta, apenas nos enfastia.

Em segundo lugar, há uma dimensão psicológica. Jung dizia qualquer coisa como: quanto maior a luz, maior a sombra. Apenas expunha uma verdade psicológica conhecida do fundo dos tempos. Quando alguém quer mostrar os seus bons sentimentos, perguntamo-nos legitimamente por onde andam os restantes. Onde estão os seus maus sentimentos? Porque os cala? Porque não fala deles? Que negrume pretende esconder? Que ódios? Com que intensidade? Em relação a quem? A quê? São perguntas que ele não se faz, senão no escuro do seu quarto, onde relega a sua sujeira. Mas quando de modo afectado pretende mostrar apenas a sua parte luminosa, não percebe que se trai, junto de quem tem alguma lucidez, e se percebe que é o nojo que o impulsiona. É a sua natureza nojenta que pretende esconder com tanta luz. E espera que haja gente tão inepta quanto ele para acreditar na sua farsa.

Em terceiro lugar, há uma dimensão teológica. O actual humanista, muitas vezes frequentador de uma missa cujo significado ignora, desconhece teologia. O que é a muitos títulos significativo. Pensemos um pouco: porque exprime ele bons sentimentos, em total contradicção com o que sempre foi uso entre os santos? Porque falam os santos dos seus maus sentimentos, dos seus pecados? Dos seus pecados pessoais, não os colectivos, forma fácil de dissolver a responsabilidade? Não os da Europa, do Ocidente, dos países ricos, mas sua, sua, muito sua? Porque Santo Agostinho mostrava ao mundo as suas falhas e São João da Cruz a longa noite da fé? Porque mostravam ao mundo os seus maus sentimentos? Como se dá o caso de que, ao contrário dos santos, o escorregadio humanista apenas faz exactamente o contrário? Expressa os seus bons sentimentos. Porque não segue ele o percurso da santidade? Talvez porque é o demónio que ele quer esconder. Alguém dizia que Lúcifer é a mais bela das criaturas. É sob a capa da bondade que quer esconder que mais não é que um esbirro do demónio.

As três dimensões estão mais ligadas do que se julga. Cerca de dois mil anos de fusão entre a tradição aristocrática e a cristã levaram a não se falar de sentimentos em público, e a ver como de muito baixo coturno mostrar os bons. Em boa aprendizagem da psicologia, se sabe desde as origens da humanidade, que a luz exposta é vista com desconfiança, as boas intenções vistas com cepticismo. A tradição teológica vai no mesmo sentido: fala dos teus pecados pessoais ao mundo, dos teus méritos Deus saberá. Baixa origem. Não só na sociedade, mas também escatologicamente. Vem algures dos infernos a sua atitude, cheira a céu de plástico o seu discurso. E só acredita no seu lodaçal quem começa a ser enfeitiçado pelo mesmo esterco. Como os companheiros de Ulisses, já começa a transformar em porcos a sua audiência. E os membros desta, quando julgam que batem palmas, estão apenas a grunhir.

 

 

Alexandre Brandão da Veiga

 

 

 

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